Handala est un personnage créé par Naji Al Ali le 5 juin 1967 qui illustrent la compléxité de la situation des réfugiés palestiniens. Le nom de sa mère est la Naqba (la catastrophe de 1948) et de sa petite soeur est la Naqsa celle de 1967.
Handala est un petit garçon âgé de 10 ans ( l’âge qu’avait Naji lorsqu’il avait quitté la Palestine) et depuis son exil les lois de la nature n’ont aucune emprise sur lui. il est situé dans l’espace sans terrain d’appui car il est sans patrie. C’est le témoin de la tragédie du peuple palestinien, il tourne son dos au public car il se sent trahi. C’est un puissant symbole de la lutte du peuple palestinien pour la justice et l’autodétermination. Il ne recommencera à croître que lors de son retour sur sa terre natale « la Palestine ». Il n’est pas un enfant bien portant, heureux, serein et couvé. Il va nu-pieds comme tous les enfants des camps de réfugiés. Ses cheveux sont ceux de l’hérisson qui utilise ses épines comme arme. Bien qu’il soit rude, il a l’odeur de l’ambre. Ses mains, toujours derrière son dos, sont le signe du rejet des solutions porteuses de l’idéologie impérialiste et sioniste. Au début il était un enfant palestinien, mais sa conscience s’est développée pour devenir celle d’une nation puis de l’humanité dans sa totalité. Il a fait la promesse de ne jamais se trahir. Handala veut dire amertume.

Handala est un personnage créé par Naji Al Ali le 5 juin 1967 qui illustrent la compléxité de la situation des réfugiés palestiniens. Le nom de sa mère est la Naqba (la catastrophe de 1948) et de sa petite soeur est la Naqsa celle de 1967.
Handala est un petit garçon âgé de 10 ans ( l’âge qu’avait Naji lorsqu’il avait quitté la Palestine) et depuis son exil les lois de la nature n’ont aucune emprise sur lui. il est situé dans l’espace sans terrain d’appui car il est sans patrie. C’est le témoin de la tragédie du peuple palestinien, il tourne son dos au public car il se sent trahi. C’est un puissant symbole de la lutte du peuple palestinien pour la justice et l’autodétermination. Il ne recommencera à croître que lors de son retour sur sa terre natale « la Palestine ». Il n’est pas un enfant bien portant, heureux, serein et couvé. Il va nu-pieds comme tous les enfants des camps de réfugiés. Ses cheveux sont ceux de l’hérisson qui utilise ses épines comme arme. Bien qu’il soit rude, il a l’odeur de l’ambre. Ses mains, toujours derrière son dos, sont le signe du rejet des solutions porteuses de l’idéologie impérialiste et sioniste. Au début il était un enfant palestinien, mais sa conscience s’est développée pour devenir celle d’une nation puis de l’humanité dans sa totalité. Il a fait la promesse de ne jamais se trahir. Handala veut dire amertume.