un bilan illustré de la mission Bienvenue en Palestine, partie en Jordanie le 24 août dernier… et rentrée totalement enthousiaste, bien qu’ayant été à nouveau empêchée de pénétrer en Cisjordanie par l’occupant israélien !
Six cents km de frontières avec la Palestine, quelque 400.000 Palestiniens à l’intérieur de sept camps de réfugiés, et plus de trois millions d’autres vivant au rythme des événements en Palestine, mais ne pouvant que très difficilement exprimer publiquement leur attachement à leur patrie et à leurs droits fondamentaux, dont celui de pouvoir retourner chez eux, contribuent certes à créer une situation très particulière dans tout le pays.
Mais jamais nous n’aurions pensé que notre initiative susciterait un tel enthousiasme dans toutes les couches de la population.
Les syndicats, les journalistes, les habitants des camps, mais aussi les commerçants et les gens de la rue — et même bon nombre de policiers— n’ont cessé de nous encourager et de nous féliciter.
D’ordinaire contraints par le régime jordanien de taire leur attachement à la Palestine, au point qu’il est interdit de hisser le drapeau palestinien, la présence d’une centaine d’internationaux affichant « Free Palestine », ainsi que les couleurs de la Palestine, a amené un nombre impressionnant de Palestiniens à exprimer leurs sentiments et leurs revendications.
La centaine de membres de la délégation internationale Bienvenue en Palestine a manifesté jeudi devant l’ ambassade de France puis d’Israël à Amman.
Au bout d’une heure de manifestation, nous nous sommes répartis dans des taxis, pour rejoindre l’ambassade d’Israël, à l’autre bout de la ville.
Les militaires et policiers affectés à la protection de l’ambassade ont été dans un premier temps surpris, car la Jordanie n’y autorise généralement pas de rassemblements de protestations.
C’est ainsi qu’au bout de quinze minutes environ, une douzaine de nos camarades ont été arrêtés, et mis dans des fourgons et relaché immédiatement devant la mosquée Kalouti, où se tiennent les rassemblements hebdomadaires habituels de protestation contre Israël.
La mission Bienvenue en Palestine a poursuivi son voyage de solidarité, avec un déplacement dans l’immense camp de réfugiés palestiniens de Baq’a, à une vingtaine de kilomètres au nord d’Amman:
Immense par sa population, mais pas par sa taille, car les 145.000 habitants du camp s’y entassent sur un minuscule espace de 140 hectares. Ces Palestiniens, dont une partie a le statut de réfugié et l’autre, encore plus précaire, de « personnes déplacées » sont le produit, non pas de la grande opération d’expulsion de 1948 (la « Nakba »), mais de la nouvelle vague de nettoyage ethnique conduite par Israël dans le sillage de la guerre de juin 1967.
Notre délégation, qui a passé 24 heures dans le camp entre mardi et mercredi, a pu constater comment ces gens sont maintenus, sous une surveillance policière constante et pesante, dans un état d’isolement, y compris vis-à-vis du reste de la banlieue nord de l’agglomération d’Amman.
Cet isolement forcé n’est sans doute pas pour rien si l’idée de « retourner » en Palestine, y compris chez les jeunes qui n’y ont jamais mis les pieds alors que c’est à quelques dizaines de kilomètres seulement, est aussi présente dans la population de Baq’a comme nous avons pu le constater.
Les services sanitaires et sociaux y sont de piètre qualité, avec par exemple 12 médecins seulement et une soixantaine d’infirmières pour les trois dispensaires du camp…
Immense par sa population, mais pas par sa taille, car les 145.000 habitants du camp s’y entassent sur un minuscule espace de 140 hectares.
Ces Palestiniens, dont une partie a le statut de réfugié et l’autre, encore plus précaire, de « personnes déplacées » sont le produit, non pas de la grande opération d’expulsion de 1948 (la « Nakba »), mais de la nouvelle vague de nettoyage ethnique conduite par Israël dans le sillage de la guerre de juin 1967.
Les délégués de la mission internationale Bienvenue en Palestine ont parcouru lundi les allées du grand camp de réfugiés palestiniens de Wahdat, dans la banlieue de la capitale jordanienne Amman, dans une ambiance chaleureuse. Ce camp, ouvert en 1955, compte aujourd’hui une population dépassant les 100.000 personnes, entassées sur une surface d’à peine 50 hectares (soit une densité de 200.000 habitants au km2 !).
Quelques articles de presse Française consacrés à la mission de Bienvenue Palestine 2012:
Les participants à la mission Bienvenue en Palestine ont été une nouvelle fois empêchés dimanche, par l’armée israélienne, de se rendre à Bethléem (Cisjordanie). En début de soirée, ils faisaient route vers leurs hôtels à Amman, sous escorte de la police jordanienne.
A 18h00 locales, un premier autobus, autorisé par les gardes-frontières jordaniens à franchir le pont King Hussein/Allenby, s’est présenté au premier check-point de l’armée israélienne ; tous les passagers sont descendus, avant que leurs passeports (conservés pour le passage du no man’s land par le chauffeur de l’autobus) ne leur soient rendus avec un tampon israélien « Entry denied » (« Entrée refusée »).
L’armée israélienne a ensuite ordonné au bus jordanien de faire demi-tour avec ses passagers, ce qu’il a fait.
Les passagers du deuxième bus n’ont pour leur part pas été autorisés par la police jordanienne à franchir le dernier poste avant le no man’s land.
A noter que l’armée israélienne, pas fière de cette nouvelle violation du droit international, avait interdit aux médias l’accès à son propre terminal, histoire qu’il n’y ait pas de témoins.
Ce qui n’a pas empêché plusieurs grands médias, israéliens et internationaux, de relater la tentative, en pointant notamment le silence quasi-total du gouvernement israélien sur cette affaire. Et pour cause, puisque « la seule démocratie du Proche-Orient », comme elle aime tant se définir, n’avait pas un mot à dire, mais seulement à exercer sa force.
On apprenait dans le même temps qu’elle instaurait un état de grande tension dans la région palestinienne (région de Jéricho) proche de la frontière, avec force déploiements de troupes et de barrages.
« A l’évidence, il s’agit là pour l’armée israélienne de faire passer un message d’intimidation aux populations palestiniennes, en leur disant en substance ‘vous voyez ce que cela vous rapporte d’inviter des amis étrangers, ils ne passent pas et on vous colle des brimades supplémentaires’ », analysait un camarade israélien.
Peine perdue : la mission, quand bien même il était acquis que ses chances de passer étaient minces, a eu un grand écho, des plus favorables, en Cisjordanie occupée. « Nous savons que si les gouvernements du monde entier nous abandonnent lâchement, il y a encore sur terre des citoyens de conscience qui nous aident à résister », nous déclarait de son côté l’un des organisateurs palestiniens de la mission.
Voyageant à bord de cinq bus, les délégués de la mission Bienvenue en Palestine sont arrivés à la frontière jordano-palestinienne (Pont King Hussein/Allenby enjambant le Jourdain) dimanche à 17 heures locales (16h00 heure de Paris).
Une délégation de la mission collectait les passeports de chacun des participants, pour les remettre aux autorités jordaniennes du poste-frontière, afin d’effectuer les formalités de passage de la frontière qui comprennent l’acquittement d’une taxe de sortie pour chaque voyageur, ainsi que le paiement du passage du pont.
A 17h40 locales (16h40 Paris) la centaine de délégués de la mission internationale Bienvenue en Palestine s’apprêtait à franchir, en autobus, les 500 mètres du pont King Hussein/Allenby les séparant de la Cisjordanie.
Seulement, ce ne sont pas des douaniers palestiniens qui les attendent à l’autre bout du pont, mais ces les soldats israéliens qui contrôle l’entrée de la Cisjordanie.
Les autorités jordaniennes ont donné le feu vert à nos camarades pour franchir la frontière, en les informant que les Israéliens étaient susceptibles de les bloquer.
Même son de cloche en provenance d’un représentant de l’ambassade de France à Amman, qui a, toute honte bue, accepter de nous transmettre ce qu’il a osé appeler une « proposition » des autorités israéliennes. En substance, « personne ne passe, mais les Israéliens sont d’accord pour que vous leur remettiez les fournitures scolaires que vous avez collectées pour les enfants palestiniens, et qu’Israël remettra à une ONG sélectionnée … par Israël ».
Plusieurs dizaines de journalistes, jordaniens et internationaux ont assistaient dimanche à midi locales (11 heures heure de Paris) à la conférence de presse de la mission Bienvenue en Palestine à la Maison des Syndicats d’Amman.
Le directeur de la maison ainsi que deux autres représentants du mouvement syndical jordanien ont appuyé l’initiative de solidarité internationale.
Côté participants, les délégués de France, des Etats-Unis et d’Espagne ont pris la parole. Ils devraient prendre la direction de la frontière Jordanie/Territoires Palestiniens au Pont King Hussein (Pont Allenby) à l’issue de la conférence de presse.
Une centaine d’hommes, de femmes et d’enfants, de la mission BIENVENUE EN PALESTINE se sont rendus samedi 25 août au camp de réfugiés palestiniens de JERASH, en Jordanie, près d’Amman.
Ils ont été accueillis chaleureusement par les responsables et les habitants de ce camp qui regroupe plus de 35.000 Palestiniens tous originaires de la bande de Gaza.
Ces personnes occupent une place particulière dans la tragédie du peuple palestinien : elles sont en effet arrivées en Jordanie après la guerre de juin 1967, et non lors de la Naqba de 1948, et c’est un statut de personnes « déplacées » et non pas « réfugiées » qui leur a été depuis lors imposé.
Regroupées sur un espace de 75 hectares, les 3.000 familles de Jerash n’ont aucune nationalité, et ne reçoivent plus depuis 2010 aucune prestation de l’UNRWA, l’agence des Nations-Unies chargée des réfugiés palestiniens.
L’unique école du camp est obligée d’accueillir 6.400 élèves par roulements, à mi-temps seulement, dans des classes surchargées comme on l’imagine. Le camp n’a en effet pas le droit de construire de nouveaux bâtiments et de s’étendre sur ce terrain loué par l’UNRWA pour une durée de 99 ans. Même une fois diplômés, les étudiants qui ont bénéficié de bourses pour aller à l’univesité en Jordanie ne peuvent pas occuper d’emploi dans la fonction publique et restent apatrides à vie.
Après une visite du centre d’accueil des handicapés, de l’atelier de menuiserie, et un déjeûner commun convivial, les participants de la mission Bienvenue en Palestine sont rentrés à Amman où les attendaient des arrivants supplémentaires. Dimanche à midi, ils organiseront une conférence de presse à la Maison des Syndicats d’Amman, juste avant de se mettre en route pour la frontière au Pont King Hussein (Pont Allenby)
BienvenuePalestine : les délégations arrivent à Amman
Les délégués de la mission internationale Bienvenue en Palestine ont commencé à arriver à Amman, en provenance de plusieurs pays d’Europe et d’Amérique du Nord.
Avec l’inscription, à la dernière minute ou presque, de plusieurs volontaires qui ne tenaient absolument pas à rater ce rendez-vous de la solidarité, plus d’une centaine de personnes, âgées de 9 ans à 82 ans, devraient donc se présenter dimanche à la frontière séparant la Jordanie de la Cisjordanie occupée (le pont King Hussein/Allenby enjambant le Jourdain) pour atteindre leur destination finale, à Bethléem.
La mission Bienvenue en Palestine est placée sous le double signe du droit citoyen à la circulation vers et dans les territoires palestiniens, et de la solidarité avec l’enfance palestinienne, en cette période de rentrée des classes.
En attendant, nos camarades ont commencé à faire connaissance avec la Jordanie, un pays comptant un grand nombre de réfugiés palestiniens, chassés de chez eux par Israël depuis 1948 (communiqué de la mission BienvenuePalestine)
Le ministère français des Affaires étrangères a publiquement réitéré mardi son attachement à la liberté d’expression et de circulation vers et dans les Territoires palestiniens, à l’occasion de la prochaine mission Bienvenue en Palestine, du 24 au 31 août prochain.
Dans des déclarations à l’AFP, reproduites ci-dessous, un porte-parole du ministère a d’abord évoqué le risque qu’Israël, qui contrôle militairement le pont sur le Jourdain (Pont du Roi Hussein, également appelé Pont Allenby) reliant la Jordanie à la Cisjordanie occupée, s’oppose au passage de la centaine de volontaires de cette mission de solidarité avec les enfants palestiniens, à l’occasion de la rentrée scolaire de ceux-ci.
L’alerte lancée par le Quai d’Orsay intervient alors que les autorités israéliennes sont elles-mêmes jusqu’à présent restées muettes sur la question, puisque « l’argument » de la souveraineté de leur territoire national, mis en avant pour s’opposer à l’arrivée de missions antérieures via l’aéroport Ben Gourion (Tel Aviv) ne peut cette fois être refourgué.
Le trajet emprunté par la nouvelle mission, consistant à arriver à Bethléem (Cisjordanie) en provenance de la Jordanie, n’empiète en effet à aucun moment sur le territoire israélien.
« Mais avec les Israéliens on n’est jamais sûr de rien », a-t-on coutume de répéter dans les couloirs du Quai d’Orsay. D’où probablement cette salutaire mobilisation diplomatique préventive.
« Notre réseau diplomatique et consulaire dans la région restera pleinement mobilisé pour apporter, le cas échéant, toute notre aide à nos ressortissants », a ainsi déclaré à l’AFP le porte-parole adjoint du ministère français des Affaires étrangères, Vincent Floreani.
« La France rappelle son attachement à la liberté d’expression, ainsi qu’à la liberté de circulation vers et dans les Territoires palestiniens, qui doivent notamment être accessibles aux visiteurs étrangers. Ce principe est régulièrement rappelé aux autorités israéliennes », a-t-il ajouté.
Nous rappelons qu’à l’invitation du Gouverneur de Bethléem et d’associations de la société civile de Cisjordanie, les volontaires de Bienvenue en Palestine apportent dans leurs bagages plus d’une tonne de fournitures scolaires, achetées en France et dans les autres pays participants (Belgique, Etats-Unis, Espagne, Suisse …) par de nombreux citoyens solidaires de l’enfance et de la jeunesse de Palestine.
Plus d’une centaine de volontaires européens se rendront en Palestine du 24 au 31 août prochains pour accompagner les enfants palestiniens dans leur rentrée des classes qui se déroulera à ce moment là. Même si vous n’êtes pas libres pour nous accompagner, vous pouvez soutenir cette mission !
Il n’est pas trop tard pour s’inscrire si jamais vous pouvez vous libérer à la fin août (c’est après le Ramadan et avant la rentrée scolaire en France). Il suffit de nous contacter à contact d5r bienvenuepalestine.com en nous donnant toutes vos coordonnées.
Pour cette nouvelle mission, nous passerons par la Jordanie (Amman puis le Pont Allenby), puisque des représentants israéliens ont déclaré en avril dernier que c’était la voie à emprunter pour se rendre en Cisjordanie. Ici :http://www.youtube.com/watch?featur…
Nous sommes attendus par nos amis de Bethléem, familles et associations, notamment des camps de réfugiés de la région. Le Gouverneur de Bethléem a même adressé en juin dernier une très officielle lettre à Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, que nous reproduisons ci-dessous pour celles ou ceux qui n’en n’auraient pas eu connaissance.
Lors d’un rendez-vous au Ministère des affaires étrangères (MAE), en compagnie de Jacques Neno, directeur de l’association l’EJE (les Enfants, le Jeu et l’Education) le 25 juillet dernier, Alexis Le Cour Grandmaison et Alexande Dieboldt, nous recevant au nom du ministre, ont réaffirmé leur « attachement à la liberté de circuler en et vers la Cisjordanie », tout en déclarant qu’ils ne pouvaient pas demander à leurs homologues israéliens d’assurer notre passage en Cisjordanie !
Nous avons fait valoir qu’aucun pouce de territoire n’appartient à Israël au Pont Allenby, qui se trouve à la frontière entre la Jordanie et la Cisjordanie, et qu’il est donc difficile aux autorités françaises de se retrancher derrière une quelconque « souveraineté israélienne », comme elles l’avaient fait sous le règne de Sarkozy.
Mais sous le règne de Hollande, le ministère des affaires étrangères ne semble guère plus décidé à faire respecter le droit international et à exiger d’Israël que les ressortissants français soient traités comme le sont les Israéliens qui viennent en France.
Nous avons donc pu constater le même décalage entre paroles verbales et sujétion totale à l’arbitraire israélien. En pire, peut-on dire, puisque le gouvernement israélien n’a pas démenti, à ce jour, les propos de l’un de ses représentants, nous conseillant de passer par le Pont Allenby ! Et sauf à les traiter de menteurs ouvertement, ce que les représentants du MAE n’ont pas osé faire, pourquoi ne pas répondre positivement au gouverneur de Béthléem ?
En tout cas, le droit de rendre visite aux Palestiniens nous parait bien trop important pour que nous renoncions à le revendiquer. Les Palestiniens sont dans une prison, de plus en plus exigüe, en butte à la dépossession, et à la répression conjuguée de l’armée et des colons, et ce droit de recevoir des visites leur serait refusé, sans que des femmes et des hommes se lèvent pour dire : nous ne vous abandonnons pas ?
Non seulement nous irons, mais nous comptons sur vous tous pour :
nous aider à rassembler des fournitures scolaires à apporter aux enfants qui vont faire leur prochaine rentrée sous occupation. Une occupation qui rend la scolarité et l’éducation de plus en plus difficiles dans maints endroits : parce que les familles forcées au chômage, ont de plus en plus de mal à payer les études de leurs enfants, et qu’en raison des barrages militaires, des murs, des terres confisquées, il est de plus en plus compliqué pour les enfants de se rendre physiquement à l’école.
Ces fournitures scolaires (peinture, feutres, jeux…) doivent être neuves, de bonne qualité et légères afin que les participants puissent les transporter dans leurs sacs à dos (pas de cahiers, par exemple).
Vous pouvez les déposer à Paris, Lyon, Lille, Marseille et Bordeaux en écrivant auparavant à contact d5r bienvenuepalestine.com.
Vous pouvez aussi envoyer un chèque pour que nous puissions en acheter de votre part (CAPJPO-EuroPalestine, 16 bis rue d’Odessa. 75014 Paris). Si jamais nous étions empêchés de nous rendre en Cisjordanie, ce sont les enfants des camps de réfugiés palestiniens en Jordanie qui profiteront de ces fournitures scolaires.
Nous vous appelons également à suivre nos informations le week-end du 24 au 26 août, pour être en mesure de réagir dans vos différentes villes, si jamais nous étions empêchés d’entrer en Cisjordanie.
Enfin, une permanence sera ouverte le lundi 20 août de 17 H à 20 H à la librairie Résistances à Paris pour réceptionner les fournitures scolaires et donner des précisions sur la mission à celles et ceux qui ont des questions à ce sujet.
En vous remerciant de votre soutien aux Palestiniens,
Solidairement,
CAPJPO-EuroPalestine
Il n’y a pas d’autre moyen, pour entrer en Palestine, que de passer par des postes de contrôle israéliens. Israël a fait de la Palestine une prison géante, mais depuis quand des prisonniers ne pourraient-ils mêmes pas recevoir de visites ?
Bienvenue en Palestine 2012 va de nouveau contester la politique israélienne d’isolement de la Cisjordanie, à l’heure où les colons paramilitaires et l’armée commettent des crimes contre une population civile palestinienne sans défense.
Nous appelons les gouvernements à soutenir le droit des Palestiniens à recevoir des visiteurs, et le droit pour leurs ressortissants respectifs de visiter librement la Palestine.
Les participants à la mission Bienvenue en Palestine 2012 demandent à pouvoir transiter par l’aéroport de Tel Aviv sans encombre afin de pouvoir se rendre directement en Cisjordanie où ils sont attendus pour prendre part à un projet consacré au droit à l’éducation pour les enfants palestiniens.
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